Vous avez décidé de procéder à la rénovation énergétique de votre logement : de nombreuses aides sont octroyées par l’État. Ce, qu’il s’agisse d’un logement individuel ou collectif. Par exemple, le CITE qui est un crédit d’impôt, l’éco PTZ ou prêt à taux zéro, la TVA à taux réduit de 5,5%. Ou encore les aides de l’ANAH, le prêt vert octroyé par les banques, la valorisation des certificats d’économie d’énergie (CEE). Comment s’y retrouver : petit tour d’horizon dans le présent article.
Tout d’abord, notons que ces aides diffèrent selon qu’elles soient compatibles les unes avec les autres, selon qu’elles s’adressent aux ménages à faibles ressources ou sans distinction de revenus. Également selon qu’il s’agisse d’un logement individuel ou collectif, ainsi que de la nature des travaux.
Le CITE ou crédit d’impôt pour la transition énergétique peut être obtenu quel que soit le montant du revenu du bénéficiaire. Il se traduit par une réduction de son impôt : le taux est de 15% des dépenses sur ses travaux. N’hésitez pas à demander votre crédit impot avec harmonie.
Les aides qui s’adressent aux ménages à revenus modestes sont celles de L’ANAH (agence nationale de l’habitat). Avec un financement des travaux de rénovation à hauteur de 50% si les revenus du bénéficiaire sont très modestes, et de 35% si ceux-ci sont modestes. L’ANAH propose plusieurs aides via son programme « habiter mieux ».
L’éco PTZ ou prêt à taux zéro sont déclinés en éco PTZ individuel ou éco PTZ collectif. Le bénéficiaire obtient un prêt de la banque pour financer ses travaux, sans avoir à payer d’intérêts.
Quant à la TVA à taux réduit, elle sera de 5,5% au lieu de 20% si le bénéficiaire est éligible suivant certaines conditions.
Aides cumulables ou renouvelables ? Rapprochez-vous d’un professionnel des travaux de rénovation énergétique ou de l’ADEME pour en savoir plus.